vendredi 19 octobre 2007
Reportage photo Trip Mendoza 2/2
(Puente del Inca, c'est ce qu'il ya en dessous)
(c'est juste pas croyable comme truc...en plein milieu des rochers... on est a plus de 2 000 metres la)
(Moi qui gele devant l'Aconcagua, le sommet le plus haut d'amerique, ou son petit frere... on a depasse les 2500 metres la je pense...)
(dans la vallee oh oh de dana, ladilada, dans la vallee oh oh j'ai pu entendre les echos...
"le vent souffle sur les pleines de la bretagne armoricaine, je jette un dernier regard sur ma femme, mon fils et mon domaine. Akim le fils du forgeron est venu me chercher, les drôides ont decide de mener le combat dans la vallee. La route de nos ancetres, de vaillants guerriers celtes, apres une longue bataille se sont imposes en maîtres. C'est l'heure maintenant de defendre notre terre, contre une armee de simeriens prets a croiser le fer..."
hahaha, et de tête hein! sans google ni rien, trop la classe mes references!)
(pour la fin, moi et mon acquisition de la journee, un bonnet peruvien made in argentina, yeahhhh bientôt le poncho!!!)
Reportage photo Trip Mendoza 1/2
(c'est vert : c'est Mendoza)
(regardez au fond, la Cordillere des Andes, don't worry, on ira demain!! ... enfin dans pas longtemps la)
(A gauche Jordan, a droite Latoya, et derriere une blonde et une brune toute aussi blonde... et puis aussi ils disent que tout va bien, c'est que ca doit être vrai...)
(une oliveraie... enfin la jolie maison dans laquelle ils vendent les produits)
(oh !!!! c'est joli!!.... et c'est toujours aussi vert : je repete qu'on est toujours dans le desert!!)
(Le jardin du vignoble que j'ai bien aime)
(Autre partie du jardin...)
(Pour les meilleurs vins, tonneaux en bois francais... si c'est pas la classe d'etre une telle reference!!)
(un banc a Mendoza... juste un trip...)
(parceque le vin y est roi, tu peux en acheter a peu pres partout)
(moi, ma sale tête et des gens cool)
(ahhh, la cordillere... et le vrai paysage Mendocino)
mardi 16 octobre 2007
Premier voyage: Mendoza
donc voila, enfin un message productif. Un peu a l arrache comme toujours j'ai decide de partir en voyage. Jeudi, j'ai demande la permission a mon boss, pour le ledemain, mais il a quand même dit oui. entre boulot passage a la banque, cherchage de billet de train, ca a ete tres speed pour un depart finalement bien calme. Je me retrouve le vendredi soir avec une bande d'americaines et une espagnole, censee être guide mais qui en fait ne connait pas non plus Mendoza. La, sincerement je me dit : "dans quelle merde tu t'es lancee?!!".
Deuxieme bonne srprise, il ya une sorte de manifestion qui bloque tous les bus, resultat: vu que le lundi est ferie, ya un monde fou, et au lñieu d'etre delaye par les departs, ca s'agglutine.
Ce n'est que deux heures plus tard que je monte dans mon premier coche cama, sorte de gros bus a deux etages ou les fauteuils se tranforment tout bonnement en lit. Armee du nouveau radiohead et d'un bon bouquin (en espagnol silvousplait!) je me preparais a passer une nuit tres solitude (les americaines sont dans un autre bus), mais mon voisin me zieute fixement : ce se voit qu'il veut raconter sa vie. Alors bon, vu que je suis sociable et genereuse, je depose les ecouteurs, et entame la conversation. En fait le type tres interressant bio-chimiste, chercheur, et pas du tout saoulant, qui ne va pas a Mendoza malheusement sinon il m'aurait emmene dans sa bodega preferee ... tant pis.
Finalement, mangeage d'un truc informe avec de la viande dedans (je pense a toutes ces americaines vegetariennes qui risquent de mourir de faim avec je dois l'avouer un petit sourire narquois). en fait, ca pourrait etre plus mauvais, mais le film pourrait lui être meilleur (Mission Impossible, dont le titre est bien a l'image de tout le film: illogique, de toute les facons on sait qu'il va la reussir sa foutue mission!). Bref, pas vu la fin, mais, ecouter Radiohead en voyant defiler derriere la vitre : rien a part un brouillard super dense, c'est assez psychedelique. Tres interessant.
Au petit matin, enfin je peux regarder le paysage derriere la vitre, pour y voir : rien. Une sorte d'etendue plate, semi desertique, a l'infini. Re-film, re_truc pas interessant, re_radiohead.
Mais en arrivant a Mendoza (la ville), grosse surprise: c'est vert, partout, il ya des arbres sur toutes les rues qui font une espece de filtre vert sur la rue. Apres, dans la configuration de la ville, c'est tout simplement la même chse que buenos aires, des carres, des numeros, des avenues (moins grandes c'est clair). Je pense nostalgique a tous ces endoits dans le monde ou il possible de errer dans un dedale de rues alambique...
Treve de plaisanterie, j'arrive a l'auberge sous bonne escorte. Je retrouve les americaines, partage des chambres... je me retrouve avec une black (Latoya) et une typee asiatique (Jordan). Toutes les deux californiennes. A vrai dire, j'ai eu du pot, pas decolorees, pas superficielles, plutòt gentilles.
La premiere chose a voir et a ne pas rater, les bodegas. On va en visiter deux, des ptites. Partout ou je passe et ou on dit que je suis francaise, ca se transforme en tentative d'excuser la pietre qualite du vin artisanal argentin. J'ai presque envie de leur dire, "c'est bon je bois du vrai bon vin deux fois par an et c'est souvent au Cameroun les cocos". Mais je m'abstiens. sinon, la deuxieme bodega a un vin pas mal, tres special (en fait juste comme le mauvais vin argentin qui est special aussi, mais en un peu mieux), du coup j'en ai achete pour en boire avec mes collegues.
Ensuite, visite d'une fabrique d'huile d'olive (c'est un comble que je passe toutes mes vacances en mediterranee et que je n'y sois jamais allee avant)...
Le plus interessant vient le soir dans mon Hostel, il ya un asado organise (un barbecue) et sont invite tous les autres Hostel de la ville. Ca fait vite du monde, dans la foule je repere un mec tres type "surfeur" avec un accent francais a couper a couteau. suivie de pres par Latoya je vais vers lui, donc debut de conversation : en anglais pour pas que Latoya se sente exclue. Et le type vraiment sympa, s'appelle Michel, est en neffet surfeur (donne même des cours), vit en Australie avec sa copine: ils se sont juste pris une annee sabatique pour voyager. Bref, assez la classe, on parle de tout et de rien, on echange les mails, on se promet de faire une salsa avant la fin de la soiree et on change de partenaire de discution.
Bon legerement alcoolisee j'ai fini la soiree a 7h30 (heure a laquelle on est censees partir a la montagne, mais n'ayant jamais de montre j'ai omis ce detail). Pour resumer la soiree, j'ai parle de beaudelaire avec un anglais, des femmes avec des argentins, de surf ave Michel, de biere avec un irlandais (oui super original je sais). Et je suis finalement allee me coucher, juste le temps de poser mes fesses sur mon lit et de realiser que le jour se leve et "toctoctoc, on part dans 20 minutes les filles!!!!".Donc grosse douche pour tenter de dessaouler (peine perdue) et hop dans le bus.
Voila, pour le reste du voyage, La cordillere des Andes, c'est beau, mais c'est froid, le bus c'est bien mais c'est long. J'ai au moins eu le temps de faire un peu connaisance avec mes deux roomates et on a ellegrement parle en anglais (bien qu'elles soient ici pour apprendre l'espàñol), et j'ai meme fini la soiree a me surprendre en sortant un ou deux "dude". (haha la bonne blague). Point important, le soir on ma juste lache le gros groupe des blondes pour aller seules au resto, et on a eu du pot, on est juste tombee sur un resto ou yavait au menu : pizza, paella, parilla, salade et dessert, le tout a volonte pour 20 pesos (5 euros a peu pres). donc assez la classe, on s'est juste pete le bide, arrose le tout avec un bonne biere brune (enfin bonne, bonne, yen a des meilleures chez 1000 et une bieres).
Le lendemain, il a fait beau comme jamais, et je ne pouvais pas esperer mieux pour mon premier rafting. J'ai juste adore la sensation de glisser sur l'eau au milieu des paysages de la cordillere, avec un ciel bleu azur. Bon, malheureusement pour moi, ce n'etait pas la saison des vraies rapides (malgre quelaues petits sursauts bien gentillets). Un jour j'en ferai un mieux, et je sais que je vais apprecier.
Voila pares ballade dans la ville de Mendoza, vous savez que c'est vert, vous ne saviez pas que c'est joli, ni que c'est super propre, on se croirait en Suisse. en fait vous vous en doutez la ville est en fait une sorte d'oasis artificielle, pour irriguer tout ca et alimenter les arbresm il ya des tranchees partout au bord des trotoirs pour recueillir l'eau. La ville est organise selon le systeme de damier donc, avec au centre la place principale, et a ses qutres coins 4 jolies places plus petites, dont certaines communiquent par des passages pietons.
C'est donc avec un peu de nostalgie que je suis remontee dans le bus (encore seule, pourtant avec les filles on s'etait achetees une liqueur creme au citron, qu'on etait cense se siffler avant de bien dormir). Mais enfin, j'ai ete assez contente de les rencontrer. Et ca m'a fait un bien fou d'être dans la nature, avec aucun gratte-ciel a l'horizon, juste l'air frais, la sensation de depaysement et quelques blondes ecervellees.
J'ai hate de repartir en voyage, mais la prochaine fois je m'y prendrais plus a l'avance et surtout j'irai seule.
Bon je vous met des photo dans le prochain message, le reportage photo.
Deuxieme bonne srprise, il ya une sorte de manifestion qui bloque tous les bus, resultat: vu que le lundi est ferie, ya un monde fou, et au lñieu d'etre delaye par les departs, ca s'agglutine.
Ce n'est que deux heures plus tard que je monte dans mon premier coche cama, sorte de gros bus a deux etages ou les fauteuils se tranforment tout bonnement en lit. Armee du nouveau radiohead et d'un bon bouquin (en espagnol silvousplait!) je me preparais a passer une nuit tres solitude (les americaines sont dans un autre bus), mais mon voisin me zieute fixement : ce se voit qu'il veut raconter sa vie. Alors bon, vu que je suis sociable et genereuse, je depose les ecouteurs, et entame la conversation. En fait le type tres interressant bio-chimiste, chercheur, et pas du tout saoulant, qui ne va pas a Mendoza malheusement sinon il m'aurait emmene dans sa bodega preferee ... tant pis.
Finalement, mangeage d'un truc informe avec de la viande dedans (je pense a toutes ces americaines vegetariennes qui risquent de mourir de faim avec je dois l'avouer un petit sourire narquois). en fait, ca pourrait etre plus mauvais, mais le film pourrait lui être meilleur (Mission Impossible, dont le titre est bien a l'image de tout le film: illogique, de toute les facons on sait qu'il va la reussir sa foutue mission!). Bref, pas vu la fin, mais, ecouter Radiohead en voyant defiler derriere la vitre : rien a part un brouillard super dense, c'est assez psychedelique. Tres interessant.
Au petit matin, enfin je peux regarder le paysage derriere la vitre, pour y voir : rien. Une sorte d'etendue plate, semi desertique, a l'infini. Re-film, re_truc pas interessant, re_radiohead.
Mais en arrivant a Mendoza (la ville), grosse surprise: c'est vert, partout, il ya des arbres sur toutes les rues qui font une espece de filtre vert sur la rue. Apres, dans la configuration de la ville, c'est tout simplement la même chse que buenos aires, des carres, des numeros, des avenues (moins grandes c'est clair). Je pense nostalgique a tous ces endoits dans le monde ou il possible de errer dans un dedale de rues alambique...
Treve de plaisanterie, j'arrive a l'auberge sous bonne escorte. Je retrouve les americaines, partage des chambres... je me retrouve avec une black (Latoya) et une typee asiatique (Jordan). Toutes les deux californiennes. A vrai dire, j'ai eu du pot, pas decolorees, pas superficielles, plutòt gentilles.
La premiere chose a voir et a ne pas rater, les bodegas. On va en visiter deux, des ptites. Partout ou je passe et ou on dit que je suis francaise, ca se transforme en tentative d'excuser la pietre qualite du vin artisanal argentin. J'ai presque envie de leur dire, "c'est bon je bois du vrai bon vin deux fois par an et c'est souvent au Cameroun les cocos". Mais je m'abstiens. sinon, la deuxieme bodega a un vin pas mal, tres special (en fait juste comme le mauvais vin argentin qui est special aussi, mais en un peu mieux), du coup j'en ai achete pour en boire avec mes collegues.
Ensuite, visite d'une fabrique d'huile d'olive (c'est un comble que je passe toutes mes vacances en mediterranee et que je n'y sois jamais allee avant)...
Le plus interessant vient le soir dans mon Hostel, il ya un asado organise (un barbecue) et sont invite tous les autres Hostel de la ville. Ca fait vite du monde, dans la foule je repere un mec tres type "surfeur" avec un accent francais a couper a couteau. suivie de pres par Latoya je vais vers lui, donc debut de conversation : en anglais pour pas que Latoya se sente exclue. Et le type vraiment sympa, s'appelle Michel, est en neffet surfeur (donne même des cours), vit en Australie avec sa copine: ils se sont juste pris une annee sabatique pour voyager. Bref, assez la classe, on parle de tout et de rien, on echange les mails, on se promet de faire une salsa avant la fin de la soiree et on change de partenaire de discution.
Bon legerement alcoolisee j'ai fini la soiree a 7h30 (heure a laquelle on est censees partir a la montagne, mais n'ayant jamais de montre j'ai omis ce detail). Pour resumer la soiree, j'ai parle de beaudelaire avec un anglais, des femmes avec des argentins, de surf ave Michel, de biere avec un irlandais (oui super original je sais). Et je suis finalement allee me coucher, juste le temps de poser mes fesses sur mon lit et de realiser que le jour se leve et "toctoctoc, on part dans 20 minutes les filles!!!!".Donc grosse douche pour tenter de dessaouler (peine perdue) et hop dans le bus.
Voila, pour le reste du voyage, La cordillere des Andes, c'est beau, mais c'est froid, le bus c'est bien mais c'est long. J'ai au moins eu le temps de faire un peu connaisance avec mes deux roomates et on a ellegrement parle en anglais (bien qu'elles soient ici pour apprendre l'espàñol), et j'ai meme fini la soiree a me surprendre en sortant un ou deux "dude". (haha la bonne blague). Point important, le soir on ma juste lache le gros groupe des blondes pour aller seules au resto, et on a eu du pot, on est juste tombee sur un resto ou yavait au menu : pizza, paella, parilla, salade et dessert, le tout a volonte pour 20 pesos (5 euros a peu pres). donc assez la classe, on s'est juste pete le bide, arrose le tout avec un bonne biere brune (enfin bonne, bonne, yen a des meilleures chez 1000 et une bieres).
Le lendemain, il a fait beau comme jamais, et je ne pouvais pas esperer mieux pour mon premier rafting. J'ai juste adore la sensation de glisser sur l'eau au milieu des paysages de la cordillere, avec un ciel bleu azur. Bon, malheureusement pour moi, ce n'etait pas la saison des vraies rapides (malgre quelaues petits sursauts bien gentillets). Un jour j'en ferai un mieux, et je sais que je vais apprecier.
Voila pares ballade dans la ville de Mendoza, vous savez que c'est vert, vous ne saviez pas que c'est joli, ni que c'est super propre, on se croirait en Suisse. en fait vous vous en doutez la ville est en fait une sorte d'oasis artificielle, pour irriguer tout ca et alimenter les arbresm il ya des tranchees partout au bord des trotoirs pour recueillir l'eau. La ville est organise selon le systeme de damier donc, avec au centre la place principale, et a ses qutres coins 4 jolies places plus petites, dont certaines communiquent par des passages pietons.
C'est donc avec un peu de nostalgie que je suis remontee dans le bus (encore seule, pourtant avec les filles on s'etait achetees une liqueur creme au citron, qu'on etait cense se siffler avant de bien dormir). Mais enfin, j'ai ete assez contente de les rencontrer. Et ca m'a fait un bien fou d'être dans la nature, avec aucun gratte-ciel a l'horizon, juste l'air frais, la sensation de depaysement et quelques blondes ecervellees.
J'ai hate de repartir en voyage, mais la prochaine fois je m'y prendrais plus a l'avance et surtout j'irai seule.
Bon je vous met des photo dans le prochain message, le reportage photo.
samedi 6 octobre 2007
Salu.
Hier je suis allee danser, et ce soir je vais a un concert . Voici la raison pour laquelle je commence la rubrique: "a quelle heure tu es rentree chez toi hier ?"
Pour l'instant je peux dire 7h du matin.
Qui dit mieux?
Ps: Steph carrement inspiree!!!
re-ps: au fait hier j'ai danse la cumbia et la salsa et c'etait cool, je me suis fait plein de nouveaux amis argentins, et ca c'est la classe!
Allez kissoux les zozios.
Pour l'instant je peux dire 7h du matin.
Qui dit mieux?
Ps: Steph carrement inspiree!!!
re-ps: au fait hier j'ai danse la cumbia et la salsa et c'etait cool, je me suis fait plein de nouveaux amis argentins, et ca c'est la classe!
Allez kissoux les zozios.
jeudi 4 octobre 2007
Remise au point...
Ah! lecteurs assidus, je suis sure que vous avez bien evidencement remarque la disparition de cette (pourtant) merveilleuse photo de Manuel, bon boss n.2. Et bien, ce monsieur a peu apprecie (c'est un euphemisme) de voir publiee une photo de lui ayant pour caractere de "degrader son image". En vertu de ce droit a l'image que possede chacun, et qui sur internet a tendance a etre oublie, j'ai donc enlevee la dite photographie. Et c'est publiquement que je fais mes excuses a ce cher monsieur, affirmant que mon but n'etait nullement de heurter sa sensibilite.
Merci.
ps: s'il yen a d'autres qui sont choques par certaines images (il faut dire assez extremes) que je publie ici, ils n'ont qu'a me laisser un mot...
Merci.
ps: s'il yen a d'autres qui sont choques par certaines images (il faut dire assez extremes) que je publie ici, ils n'ont qu'a me laisser un mot...
EDIT
La censure a encore agit : petite reunion hier avec mes deux boss, et Manuel a decidement peu apprecie de voir sa photo sur mon blog. du coup, maintenant il veut carrement que je retire du blog tous les textes qui ont a voir avec le cote relationnel de mon boulot, en gros, je me vois obligee de supprimer ce que j'ai ecris sur ma premiere soiree a Buenos Aires. tres sincerement je trouve tout bonnement que c'est de l'abus de pouvoir et que si pour la photo c'etait legitime, la ca tourne a la censure pure et simple. Surtout qu'il me "conseille" des choses dont je pourrai parler dans mon blog (la meme chose qu'il ya deja sur le blog officiel du centre). ca me fait juste me poser des questions sur la veritable "liberte d'expression" qui existe en Argentine. Est ce que ca aussi a voir avec le fait que quasiment personne ne parle de l'histoire (recente) de l'Argentine? Ou est ce que c'est juste Manuel qui est tres a cheval sur l'image qu'il veut donner de lui et de son travail?
Anyway, je m'execute, presque sans discuter, je le ferai peut-être plus tard lorsque les esprits seront calmes. Mais, je trouve ca assez triste, comme si parcequ'ils travaillent pour une institution publique (et se considerent comme une institution, autre debat), ils n'avaient pas le droit d'être humains... d'être gentil, d'avoi de bonnes relations de travail et a l'occasion se donner des petits noms gentils...
Menfin, tant pis, il me reste 7 mois a tirer et je n'ai pas l'intention de les finir a quattre pattes, ni lapidee sur la voir publique, a moi de trouver le juste milieu.
lundi 1 octobre 2007
Mes bottes de sept lieu"x"
Cedant a la pression generale, je poste enfin une photo de ma botte, celle avec laquelle j'ai danse le tango. Achetee avec amour avec ma moman, qui pour optenir cette merveille a debourse pas moins de ... lol bon, je vous epargne les details, j'attend les critiques. (et vous avez vraiment de la chance que je sois conciliante, parceque j'avais vraiment l'air con en prenant cette photo dans la cuisine.)
Sinon, il est vrai que porter ce genre de choses vous change une femme, oui oui, parfaitement. Explications: disons que "l'argentin moyen" (bahhhh c'est moche! rien que de me voir ecrire ca, ca fait mal au coeur) est assez petit. Or je suis assez grande (meme si je n'en ai pas l'air), et j'aime cette vision que j'ai du monde avec ces quelques centimetres de plus, meme s'il devient alors difficile de trouver des partenaires de danse plus grands que moi (mais vous savez ce qu'on dit: c'est pas la taille qui compte...).
Bref, tout ca pour dire, je suis effectivement retournee au tango hier, pour mon deuxieme "taller". Ce mot signifie simplement qu'il s'agit plus d'un lieu ou on apprend sur le tas, ce n'est pàs un vrai "cours". Bref, j'ai danse avec plein de gens, et en suit arrivee a la conclusion qu'il me faut danser avec de bons danseurs. Oui, parfaitement, rien de moins. La raison n'a rien a voir avec un ego demesure, c'est simplement que vu que je ne connais rien, il faut que mon partenaire non seulement connaisse des trucs mais en plus qu'il sache guider (or il faut avouer que c'est pas evident, tout se passe avec les pressions plus ou moins grande qu'il effectue avec ses mains... sur mon dos notamment... pfff je vous voyais venir!). Bref, tout est une question de precision, de rythme, et de "feeling".
Ah! et autre chose importante, je vous ai deja parle du Folklore, danse de l'interieur des terres. Et bien, pour votre information, le tango est une danse quasiment purement de Buenos Aires, et qu'il existe une grande difference entre le tango qui s'ecoute et celui qui danse. Pour resumer, celui qui s'ecoute (et s'ecoute a grande echelle par ici, quasiment par tous) a des paroles, alors que celui qui se danse n'en a pas. Ce dernier a pour seul but de faire exprimer par le corps, la musique et le ryhtme, la meme chose qui s'exprime par des mots dans les chansons. Avouez que c'est beau!
Allez je m'en va! et en prime, une photo de comment ca se passe, le tango a Gardel...
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